Asagi, alias blanche neige

Nom : Inconnu

Prénom : Shiroi (surnommer Yuki no Shiroi, Snow White ou encore blanche neige) Mais se fait maintenant appelé Asagi

Age : 20ans en apparence

Sexualité : Homosexuel (Mixte)

Situation familiale : Fils unique, père adoptif de Ayame

Peuple : Vampire des White Roses

Profession : Bras droit de Snow

Caractère :
Shiroi possède un coeur aussi noir que la nuit, en opposition avec son nom qui signifie blanc(he).
C'est quelqu'un de très mystérieux, de très ténébreux, et de très froid.
Il n'accorde de l'importance à personne car ne veux plus subir l'atroce souffrance de la perte d'être cher.
Il déteste plus que tous les femmes, de par son passé avec sa belle-mère, et voue à présent une haine commune avec Snow, pour Jasmine.


Histoire :

C'était au milieu de l'hiver, et les flocons de neige tombaient comme des plumes ; une reine était assise près de sa fenêtre au cadre d'ébène et cousait. Et comme elle cousait et regardait la neige, elle se piqua les doigts avec son épingle et trois gouttes de sang en tombèrent. Et voyant ce rouge si beau sur la neige blanche, elle se dit :

« Oh ! si j'avais un enfant blanc comme la neige, rouge comme le sang et noir comme l'ébène ! »

Bientôt elle eut une petit garçon qui était aussi blanche que la neige, avec des lèvres rouges comme du sang et des cheveux noirs comme l'ébène, et qui était aussi féminin qu'une fille mais au coeur était également aussi noir que la nuit; ce qui fit qu'on le nomma surnomma Yuki no Shiroi (blanche neige) et porta le nom de Shiroi (Blanc(he)). Et lorsque l'enfant eut vu le jour, la reine mourut.

Un an après, le roi prit une autre femme. Elle était belle, mais fière et hautaine à ne pouvoir souffrir qu'aucune autre la surpassât en beauté. Elle avait un miroir merveilleux ; et quand elle se mettait devant lui pour s'y mirer, elle disait :

« Petit miroir, petit miroir,
Quelle est la plus belle de tout le pays ? »

Et le miroir répondait :

« Madame la reine, vous êtes la plus belle. »

Alors elle était contente, car elle savait que le miroir disait la vérité.

Mais Shiroi grandissait et devenait toujours plus beau, et gracieux ; et quand il eut sept ans, il était aussi beau que le jour, bien plus beau que n'importe quelle fille, et donc plus "belle" que la reine elle-même. Comme celle-ci demandait une fois à son miroir :

« Petit miroir, petit miroir,
Quelle est la plus belle de tout le pays ? »

Il lui répondit aussitôt :

« Madame la reine, vous êtes la plus belle ici,
Mais Shiroi est mille fois plus beau que vous. »

La rein rigola à cette remarque et dis alors à son miroir, fort amusé:

"Mais il s'agit d'un garçon voyons !"

Le miroir lui répondit alors sans hésitation:

"Certes, mais sa beauté n'a d'égale celle d'une fille, aucune fille ici ne peu surpasser celle-ci, même pas vous ma reine."

La reine, consternée, devint livide de rage et d'envie. Depuis ce moment, la vue de Shiroi lui bouleversa le cœur, tant la petit garçon androgyne lui inspirait de haine. L'envie et la jalousie ne firent que croître en elle, et elle n'eut plus de repos ni jour ni nuit. Enfin, elle fit venir son chasseur et lui dit :

« Portez l'enfant dans la forêt ; je ne veux plus l'avoir devant les yeux ; là, vous le tuerez et vous m'apporterez son foie et ses poumons, comme preuve de l'exécution de mes ordres. »

Le chasseur obéit et emmena l'enfant avec lui ; et quand il eut tiré son couteau de chasse pour percer le cœur de l'innocent Shiroi, voilà que le petit garçon commença à pleurer et dit :

« Ah ! mon bon chasseur, laisse-moi la vie ! Je courrai dans la forêt sauvage et ne reviendrai jamais. »

Il était si magnifique que le chasseur eut pitié de lui et dit :

« Va, pauvre enfant ! »

Il pensait en lui-même :

« Les bêtes féroces vont te dévorer bientôt. »

Pourtant, il se sentit le cœur soulagé d'un grand poids à l'idée qu'il avait pu se dispenser de l'égorger. Et comme il vit courir devant lui un marcassin, il le tua, en prit le foie et les poumons, s'en fut les présenter à la reine, qui les fit bien assaisonner et cuire : et la méchante femme crut manger la chair et le sang de Shiroi.

Pendant ce temps, le pauvre enfant errait tout seul dans l'épaisse forêt, et il avait si grand'peur qu'il regardait d'un air inquiet tous les arbres et toutes les feuilles, ne sachant où trouver du secours. Puis il se mit à courir sur les pierres pointues et sur les épines, et les bêtes féroces bondissaient à côté de lui, mais sans lui faire aucun mal. il courut aussi longtemps que ses pieds purent le porter, jusqu'à la brune, et il aperçut alors une petite cabane où il entra pour se reposer. Tout ouverture dans cette cabane était recouvert d'épais rideau qui ne laissait passer aucune lumière, mais la cabane était si propre à côté de cela qu'on ne saurait le décrire. Il y avait une petite table recouverte d'une nappe blanche avec sept assiettes, chaque assiette avec sa cuiller, puis sept couteaux, sept fourchettes et sept gobelets. Contre le mur, il y avait sept lits l'un à côté de d'autre, couverts de draps blancs comme la neige.

Shiroi avait très-faim et très-soif; il mangea une cuillerée de légumes avec une bouchée de pain dans chaque assiette, et but dans chaque gobelet une goutte de vin, car il ne voulait pas prendre une seule part tout entière. Puis, comme il était fatiguée, il essaya de se coucher dans un des lits, fit sa prière et s'en- dormit.

La nuit venue, les maîtres de la cabane arrivèrent ; c'étaient des enfants qui semblaient vivre la nuit. Ils allumèrent leurs petites lampes, et quand le logis fut éclairé, ils virent bientôt que quelqu'un avait passé par là, car tout n'était plus dans le même ordre où ils l'avaient laissé.

Le premier dit :

« Qui s'est assis sur ma chaise ? »

Le second :

« Qui a mangé dans mon assiette ? »

Le troisième :

« Qui a pris de mon pain ? »

Le quatrième :

« Qui a touché à mes légumes ? »

Le cinquième :

« Qui a piqué avec ma fourchette ? »

Le sixième :

« Qui a coupé avec mon couteau ? »

Et le septième :

« Qui a bu dans mon gobelet ? »

Puis le premier se retourna et il vit que son lit était un peu affaissé.

« Qui s'est couché dans mon lit ? » dit-il.

Et les autres d'accourir et dire :

« Dans le mien aussi, il y a eu quelqu'un. »

Mais le septième, en regardant son lit, aperçut Shiroi qui y était couchée et dormait. Il appela ses frères, qui se hâtèrent de venir et se récrièrent d'étonnement et chacun fut chercher sa lampe pour mieux contempler Shiroi.

« Ah ! mon Dieu, ah ! mon Dieu, répétaient les enfants, que cette enfant est beau ! »

Ils étaient ravis de l'admirer et se gardèrent bien de l'éveiller ; le septième enfants dormit une heure dans le lit de chacun de ses compagnons jusqu'au point du jour. Le matin, quand Shiroi sortit de son sommeil, elle vit les enfants et fut effrayée. Mais ils se montrèrent fort aimables et lui demandèrent son nom.

« Je me nomme Shiroi, mais l'on me surnomme Yuki no Shiroi » dit-il.

– Par quel hasard, reprirent les enfants, es-tu venue dans notre maison ? »

Alors il leur conta son histoire comment sa belle-mère avait voulu le faire tuer, comment le chasseur l'avait épargnée, et comment il avait couru tout le jour jusqu'à ce qu'il rencontrât la petite cabane. Les enfants lui dirent :

« Veux-tu faire notre ménage, les lits, la cuisine, coudre, laver, tricoter ? En ce cas, nous te garderons avec nous et tu ne manqueras de rien. »

Shiroi leur promit tout ce qu'ils désiraient et resta chez eux. Il vaquait aux soins du ménage. Le jours, les enfants dormaient dans la cabane, les rideaux bien clos; le soir, il s'absentait la quasi totalité de la nuit. Toute la nuit la jeune homme était seul, et ils l'avertissaient en partant de se tenir sur ses gardes : « Car, disaient les petits enfant, ta marâtre saura bientôt que tu es ici, de plus méfie toi des personnes qui peuvent passer ici quelques fois pendant que l'on dort, les apparences peuvent être trompeuse; n'ouvre à personne ! »

Cependant, la reine qui croyait avoir mangé la chair et le sang de Shiroi, pensait bien être de nouveau la plus belle femme du pays ; et pour en avoir l'assurance, elle se mit devant son miroir et lui dit :

« Petit miroir, petit miroir,
Quelle est la plus belle de tout le pays? »

Aussitôt le miroir de répondre :

« Madame la reine, vous êtes la plus belle ici,
Mais Shiroi au delà des montagnes,
Chez les sept petits enfants vampires,
Est mille fois plus belle que vous. »

(suite)


La reine pâlit de colère ; elle savait que le miroir ne mentait pas, et elle reconnut que le chasseur l'avait trompée et que Shiroi vivait encore. Elle songea derechef aux moyens de le tuer ; car aussi longtemps qu'elle ne serait pas la plus belle, elle sentait qu'elle n'aurait pas de repos. Enfin, elle pensa à ce que venait de dire son miroir. 7 petits enfants vampires...ainsi les vampires existaient? Elle se rappela alors de cette fameuse légende des Descendants de la Rose...Elle réussit à retrouver la trace d'un d'entre eux, la sorcière Jasmine You...Elle lui demanda poliment de lui rendre service en éliminant Shiroi, qui pourrait soit disant être une menace pour leur clan, puis ce que vivant avec des vampires dans en être lui même un. Jasmine n'eut d'autre choix que d'accepter ce service demandé par la jeune femme, en insistant bien pour savoir si elle était sure de son choix. Reine insista. Jasmine s'en alla alors en précisant que son service lui coûterait un prix terrible dans le future. La reine ne fit guère attention à cette réplique, toute contente de pouvoir enfin se débarrasser de Shiroi. Jasmine se rendit donc en plein jour à la cabane des enfants vampires, étant vampire originel il ne craignait pas la lumière du jour et pouvait ainsi opéré pendant le sommeil des petits.
Jasmine arriva donc, un panier de pomme à la main, à la cabane et toqua à la porte. Shiroi âgé maintenant de 20 belle année était devenu un bien plus magnifique jeune homme encore, et, n'aillant jamais reçut de visite durant la nuit, ou le jour, depuis l'avertissement des enfants, qui eux n'avaient pas vieillit d'un pouce, en oublia totalement qu'il ne fallait ouvrir à personne.
Il alla donc à la porte et ouvrit, se retrouvant en face de la jeune femme, vêtu d'une cape noir, tenant une pomme dans la main et un panier remplit dans l'autre.:

« Bonjour, ma bonne femme venez vous faire ici»

– je viens amener des pommes à ses bravent petits que je connais depuis fort longtemps. Je passait par ici c'était une occasion.»

« Je peux laisser entrer cette brave femme, » pensa Shiroi.

Et tirant le verrou de la porte, elle ouvrit à la dame et la laissa entrer.

« Mon enfant, dit la jeune femme, vous semblez mourir de fin, ne voulez pas vous goutter une de ses pommes.»

Shiroi, sans aucun soupçon, accepta de manger une pomme, et dès la première morsure effectué dedans, il perdit la respiration et tomba comme morte.

Les enfants se réveillèrent alors dû au vacarne effectué par la chute de Shiroi au sol... quel ne fut pas leur trouble en apercevant leur cher Shiroi étendue par terre sans mouvement et comme inanimée ! c'est alors qu'ils aperçurent Jasmine.

"Maître jasmine !!"

s'écriaient-ils alors.
Ils se prosternèrent alors tous à ses pieds.
Jasmine leur expliqua alors qu'il avait été envoyé par la belle-mère de Shiroi, pour le tuer.
Cette pomme enchanté qu'avait manger Shiroi, n'était destiné uniquement à endormir celui-ci, et de par sa magie, à faire en sorte que le miroir magique de la reine, considère réellement Shiroi comme mort, même si celui-ci venait à se réveiller.
Toute fois, le venin de la pomme qui agissait durerait un bon moment.
Jasmine, mordit alors Shiroi, faisant de lui un des leur.
Les enfants lui firent un cercueil de verre pour qu'on pût le voir de tous côtés, l'ensevelirent dedans et écrivirent dessus en lettres d'or, qu'il était fils de roi, et se nommait Shiroi. Ensuite ils placèrent le cercueil sur le haut de la montagne, et l'un d'eux restait toujours auprès d'elle pour la garder.
Il devait gardait se cercueil jusqu'à l'éveil de Shiroi, où lorsqu'un beau jeune homme tombera amoureux de lui et sera prêt à lui offrir sa vit.

Shiroi était ainsi depuis bien longtemps dans son cercueil et ne changeait pas de figure, ne semblant toujours qu'endormi, car il était toujours blanche comme neige, avec des lèvres comme du sang, sous ses beaux cheveux noirs comme l'ébène.

Or, il advint qu'un fils de roi, allant par la forêt, arriva chez les enfants pour y passer la nuit. Il vit Shiroi couchée dans le cercueil de verre sur la montagne, et lut ce qui s'y trouvait écrit en lettres d'or. Alors il dit aux enfants:

« Livrez-moi ce cercueil, je vous donnerai ce que vous voudrez. »

Mais les enfants répondirent :

« Nous ne le livrerions pas pour tout l'or du monde !

– Eh bien, reprit-il d'un ton suppliant, laissé moi au moins l'ouvrir une fois, pour en caresser ses si beau cheveux; car je ne peux plus vivre sans voir Shiroi. J'en suis tombé fou amoureux dès le premier regard. Je vous en supplie, je serais prêt à donner ma vie pour obtenir la sienne. »

Les enfants, touchés de ses prières, eurent pitié de lui (où plutôt respectèrent la volonté de Jasmine) et lui permirent d'ouvrir le cercueil. Presque aussitôt, Shiroi ouvrit ses yeux, des yeux couleur rouge sang. Le prince fou de joie face à se miracle, prit le jeune Shiroi dans ses bras. Shiroi, en plein éveil vampirique mordit donc sans aucune douceur le cou du jeune homme et le vida de son sang.

Shiroi quitta ensuite la maison des enfants, pour se rendre à son ancienne demeure où régnait maintenant sa belle-mère.
Et lorsqu'il entra, celle-ci reconnut Shiroi et resta immobile de terreur et d'angoisse.

"Ne t'avait-on pas dit que demander les services des Descendants de la Rose avait un prix fort terrible à pailler cher belle mère? ce prix, ce celui de ta mort, une mort atroce sous les mains de la personne même à laquelle tu avais demandé l'élimination. Certes j'ai été tué, mais condamner à ressusciter et a vivre une vie éternel en me nourrissant de sans, et tout ça par ta faute alors maintenant il est tant que tu pailles pour tous les malheurs que tu m'as fait vivre et pour m'avoir condamner à cette existence de démon. Qui plus est, dans l'histoire c'est toi qui est perdante, car c'est moi qui détient la beauté et la vie éternel maintenant alors que toi tu ne fait que prendre des rides au fils du temps !"

sur ce, ce fut un terrible crime qui se produisit cette nuit là.
Tout le château entier fut tué et brûlé.
Shiroi est né avec une peau aussi blanche que la neige, des lèvres aussi rouges que le sang et des cheveux aussi noir que l'ébène, mais également avec un coeur aussi noir que la nuit...
Son destin depuis le début était de devenir vampire, son éveil n'a fait que réveiller son coeur noir.
Très vite, Shiroi commença à perdre la raison suite à son retour à la cabane où il retrouva morts ses 7 petits compagnon de vie...
Sa belle-mère avaient donné l'ordre de brûler leur maison pendant le jours, les petits ne s'en étaient donc pas sortit.

Même si cela était son destin dès sa naissance, car ce que l'histoire ne stipule pas, né d'une mi-vampire/mi-humaine, Shiroi n'accepta jamais ce que Jasmine avait fait de lui, il l'accusait d'être responsable de la mort des petits, car s'il n'était pas allé exécuté la rançon du pacte passé entre Jasmine et sa mère, il aurait pû les sauver.
De plus Jasmine n'aillant rien fait pour les sauver non plus il lui en voulait doublement.
Devenu trop dangereux et puissant, Jasmine n'eut d'autre choix que d'enfermer de nouveau son "enfant" dans son cercueil de cristal, qu'il abandonna dans un désert de neige et de glace sans fin où personne ne le trouverait, en total communion avec son élément, la neige.
Seulement ce que Jasmine n'avait pas prévu, c'est que plus tard, il pensa au même endroit pour abandonner Sono...Et le jeune Sono, devenu Snow, finit par découvrir le cercueil, et libéra Shiroi de son éternel sommeil.
Depuis Shiroi et Snow sont toujours ensemble, Shiroi est devenu le bras droit de Snow.
A croire que là encore le destin était passé par là, et ette fois-ci avait échappé aux mains de Jasmine, puis ce que à eux d'eux, ils réformaient le nom de blanche neige (White Snow, Shiroi no yuki...).
Depuis qu'il a rejoint les rang des White Roses, il se fait appelé Asagi, afin que Jasmine n'apprenne pas son éveil.



Autres précisions : Asagi possède un tatouage au bras. Asagi n'a pas cesser de porter de l'amour pour des enfants vampire, son passé avec les 7 petits enfants fait qu'il aime beaucoup être en compagnie d'enfants et les aider. Il ne put donc pas s'empêcher de venir porter secours au jeune Ayame, élu de a nature tout comme lui l'avait été. Il le pris donc sous son aile, le considérant comme son propre fils, il remplaçait dans son cœur ces 7 jeunes amis qu'il avait perdu.

Avatar : Asagi (D)

FICHE VALIDÉE

Bienvenue parmi nous blanche neige.
Je suis navré que tu es perdu tes 7 nains.
*Kamijo fait dans l'humoir aujourd'hui XD*